Week-end de soumission avec Maître Jérôme

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il y a 5 ans

Chemisier blanc sans soutien-gorge, jupe légère et culotte de dentelle, j’attends Maître Jérôme à l’aéroport. Mon Maître m’a en effet demandée de l’accueillir en soumise digne de l’éducation qu’il me procure au quotidien. Et bien que je ne connaisse pas Maître Jérôme en dehors des photos que j’ai vu sur Internet, la parole de mon Maître est loi. Me voilà donc dans ce hall d’aéroport, un peu anxieuse mais aussi très excitée.

18h00 : l’avion de Paris se pose, et les premiers passagers arrivent dans le hall. L’anxiété monte d’un cran… Le voilà ! En souriant, il s’approche de moi et me fait la bise… ca commence bien. Direction le parking, où la voiture nous attend. Arrivé à la portière, je fais mine de monter, lorsque Maître Jérôme m’interrompt " Retire ta culotte et donne la moi, s’il te plaît. Pas de culotte en voiture ". Il tend la main… je m’exécute. Observant avec intérêt ma jolie petit culotte couleur moutarde, il me fait signe que je peux monter en voiture… " mais pas avant d’avoir remonté ta jupe sur les reins.

Je veux que tes fesses soient à même le cuir du siège ". Aïe… nous sommes en été, et le cuir est chaud. Moi qui aime que l’on me chauffe les fesses, me voilà servie ! Je démarre et quitte le parking. Alors que nous roulons en direction de la maison, Maître Jérôme tient à s’assurer que je n’ai pas mis de soutien-gorge. Il me demande de dégrafer mon chemisier, et glisse une main à l’intérieur. Sans surprise, il y trouve des tétons tous durs, bien dressés…et pas de soutien-gorge ! Satisfait, il continue à jouer avec mes tétons… puis glisse une main entre mes cuisses… " garde les jambes écartées, même quand tu conduis ". Je m’exécute… c’est pas facile. Près de la maison, je demande à Maître Jérôme l’autorisation de refermer momentanément mon chemisier. C’est que je suis connue dans le quartier, moi ! Il accepte, le temps que nous nous garions.

Une fois à l’intérieur, après lui avoir servit un apéritif, je me déshabille et le conduit dans notre chambre, où mon Maître m’a fait préparer avant de partir quelques jouets à l’attention de mon Educateur d’un week-end : cravache, badine, tout est là.

Maître Jérôme me fait adopter la position d’inspection, bien droite, jambes légèrement écartée, poitrine en avant, les mains derrière la tête. Cravache en main, il tourne autour de moi. Je le sens qui m’évalue, me jauge, m’admire. Cela m’excite. Du bout de la cravache, il rectifie ma position.

Puis les questions fusent : " Nom, âge, profession "… " mensurations… Allez ! "… " Ta position préférée lorsque ton Maître te fait l’amour ? "… " Quelle est la punition que tu crains le plus ? Celle que tu préfère ? " … " Tes limites, tes tabous, tes interdits ? Réponds ! " … Les questions personnelles pleuvent… je me sens mise à nue.

Une fois satisfait des réponses, Maître Jérôme entreprend de jouer de la cravache… le bout de cuir se glisse entre le haut de mes cuisses et commence à frapper légèrement mais rapidement. La sensation devient vite obnubilante… il arrête, pour tourner autour de moi… quelques coups de cravache sur mes fesses commencent à les faire rosir… avant que la cravache ne trouve son chemin vers ma superbe poitrine. Les coups sont légers, rapide… Maître Jérôme veut me chauffer, m’évaluer. Satisfait, mon Educateur du week-end me demande d’enfiler ce corset que j’aime tant. Difficile de le boutonner dans le dos. Il souri, regarde la cravache, et me dit " je suis sûr que tu va y arriver "… Je suis prise au dépourvu. Mon Maître m’aide d’habitude…

En me contorsionnant, après beaucoup d’essais, j’y arrive enfin. J’ai échappé à la cravache, mais Maître Jérôme ne va certainement pas manquer d’expliquer à mon Maître que je peux très bien le faire toute seule… tant pis !

En attendant mon Maître, Maître Jérôme me place aux pieds du lit, les mains bien à plat contre le matelas, et les reins bien cambrés… et là, surprise douloureuse… il a pris la badine ! Les coups se font plus appuyés, mes fesses rougissent, des zébrures rouges apparaissent… j’adore ! A ce moment, mon Maître arrive… il paraît que l’on entend les coups de badine jusque dans la rue !

Nous montons à l’étage, moi toujours nue, afin de prendre un verre. Pendant que mes Maîtres discutent, ils m’abandonnent à mon sort, à genoux, pas très loin. Puis les choses sérieuses commencent. Mon Maître m’ordonne de montrer à Maître Jérôme mes jouets. Cravaches, godes divers, vibreur de clitoris, chaînes, badines, ceintures de chasteté, gode-ceinture… je suis une soumise équipée, et Maître Jérôme apprécie. Il commence d’ailleurs par me faire porter mon collier de chienne et mes bracelets de cuirs. Puis, à quatre pattes, je me dirige vers le centre de la pièce. Que le spectacle commence !

Me voilà de nouveau cravachée… doucement pour me chauffer, puis d’une façon plus appuyée… Maître Jérôme alterne les coups appuyés et les caresses de cuir. Mes fesses tremblent. Lorsque la cravache s’élève, je ne sais jamais si elle va me caresser ou me meurtrir… mes fesses rougissent, je suis chaude. Maître Jérôme adopte la badine, et continue son œuvre. Mes fesses passent au vermeil et au bleu. Maître Jérôme me fait reprendre la position d’inspection… il m’écarte les cuisses à la cravache, et me place des pinces aux lèvres du sexe… Il est doux, mais les pinces sont douloureuses. Je ferme les yeux. Je sens sa main caresser mes tétons, ses doigts jouer avec et les faire se dresser… lorsque soudain je me cambre… une pince vient mordre mon téton. Le second subit le même sort. Je redresse me cambre plus encore et présente ma poitrine, en bonne esclave… Pendant ce temps, Maître Jérôme joue avec mon clitoris et un petit goupillon tout dur… sensations garanties !

Il est temps de dîner. Mon Maître me fait porter une ceinture de chasteté garnie d’un gode, qui me pénètre en profondeur. Le cadenas est mis, et Maître Jérôme hérite de la clef. Je passe le repas à servir mes deux Maîtres à genoux. J’ai préparé un beau plateau garni… mes Maîtres discutent de mon dressage, comme si je n’étais pas là. A la fin du repas, mon Maître m’ordonne de rester à genoux et de leur offrir une petite gâterie pour conclure le dîner en beauté. Je m’approche donc, toujours à genoux, et entreprends de sucer mon Maître et Maître Jérôme… j’enfourne leurs sexes durs au fond de ma gorge, et pompe comme une belle esclave bien dressée. Je sens leur plaisir gonfler dans ma bouche. Lorsque je suce l’un, je branle l’autre… et vice-versa.

Au fond de moi, le gode ceinture me pénètre profondément. Maître Jérôme jouit le premier, en faisant une belle tâche sur le canapé, qui en vu d’autres, heureusement ! Après avoir également satisfait mon Maître, on m’ordonne de me lever et de reprendre la position d’inspection. Tête baissée, mains derrière la nuque, je m’exécute pendant que Maître Jérôme me retire la ceinture et le godemiché… qu’il me donne à sucer langoureusement afin de le nettoyer. Me voyant marcher, mon Maître estime que je ne me déhanche pas suffisamment, que je n’ai pas une démarche assez suggestive. Maître Jérôme pense avoir une idée pour arranger les choses, et me replace pinces et poids au sexe et à la poitrine. Il m’ordonne ensuite de marcher en ondulant mon corps de façon à ce que les poids ondulent largement entre mes cuisses et sur mes seins. La douleur est proportionnelle à l’excitation que je ressens à ce moment, en train de m’exhiber nue devant mes Maîtres.

Mon Maître me fait ensuite asseoir sur un fauteuil, les jambes largement ouvertes et reposants sur les accoudoirs… Il invite Maître Jérôme à me fister, pendant que lui-même approche son sexe dur de ma bouche. Je l’enfourne goulûment, tandis que mon sexe est abondamment garni de crème lubrifiante par Maître Jérôme. Bientôt, je sent ses doigts me fouiller. Il avance lentement… pénétrant doigt après doigts, alors que je pompe mon Maître avec gourmandise. Mes lèvres sont distendues. Toutes mes lèvres… en haut, le sexe de mon Maître occupe pleinement ma bouche.

En bas, le fin poignet de Maître Jérôme vient de me pénétrer… il me fiste, je sens son poing bouger en moi, me fouiller le sexe… je suis très excitée… mon Maître jouit bruyamment à ce moment, arrosant de nouveau ma gorge se son sperme… Maître Jérôme se retire, et Maître me donne mon cadeau… un cunnilingus exquis. Je monte très vite… mais je ne suis hélas pas autorisée à jouir. Maître Jérôme me le rappelle par une cinglante marque rouge en travers ma poitrine. Mon Maître lui laisse la place entre mes cuisses inondées. Maître Jérôme me suce et titille mon clitoris du bout de sa langue.

Je suis à deux doigts d’exploser de jouissance. Mais en esclave bien dressée, je me retiens… et demande la permission. Mon Maître me répond qu’aujourd’hui, Maître Jérôme est notre invité, et c’est donc à lui de décider. J’implore le Maître venu de Paris de mes yeux. Il m’interdit de jouir pour l’instant. Je grogne, tandis que sa langue soumet de nouveau mon clitoris à une douce t o r t u r e . Je n’en peut plus. Quatre fois, je manque de jouir, d’exploser. Je suis tremblante, inondée. J’implore. Finalement, Maître Jérôme m’autorise à me libérer. Une tape sur ma poitrine alors qu’il m’aspire le clitoris, et je décolle. Je hurle. Je me libère, mes cuisses enserrent sa tête. Fin du premier acte.

Plus tard dans la soirée, mes Maîtres m’amènent nue à la piscine, afin de profiter de moi dans l’eau. Sucer, être prise, servir en tout les sens du terme, j’accomplis là mon devoir d’esclave. Maître Jérôme m’ordonne de garder un œil sur son sexe, et de venir spontanément m’occuper de lui à peine je le vois dressé. Je m’exécute, suçant alternativement mes deux Maîtres et trouvant malgré tout le temps de nager un peu !

Nous décidons ensuite de nous coucher. Le lit conjugal que je partage habituellement avec mon Maître n’étant pas assez grand pour nous trois, Maître Jérôme va coucher dans la chambre d’amis. Je lui promet de venir le réveiller le lendemain matin avec les honneurs.

Le lendemain… jour 2 de ma soumission.

Chose promise, chose due, je me glisse en fin de matinée dans la chambre de Maître Jérôme. Je fouille sous les draps et m’empare de son sexe. Il ne tarde pas à gonfler dans ma bouche… et son propriétaire de se réveiller ! Je termine mon devoir buccal, avant de proposer à Maître Jérôme de me suivre dans notre lit. Là, alors que mon Maître prend sa douche après m’avoir ordonné de m’occuper au mieux de notre invité, je me couche sur le dos, jambes ouvertes et sexe humide… Maître Jérôme ne répond pas tout de suite à l’invitation et vient plutôt f o r c e r son sexe rigide entre les lèvres de ma bouche. Je suce en soumise bien dressée. Puis, satisfait, Maître Jérôme s’allonge sur moi… son sexe me perce… il me pénètre, moi, l’esclave à son service. L’arrivée de mon Maître fais monter la température d’un cran, et c’est à deux sexe que j’aurai droit avant d’être envoyée préparer le petit déjeuner. La journée se déroulera tranquillement. Peu de jeu SM hard, mais une disponibilité totale de mes orifices. Maître Jérôme aime pouvoir accéder à la soumise en toutes circonstance. Maison, piscine, restaurant… je dois toujours lui présenter mon sexe lorsqu’il le souhaite. C’est pourquoi je ne porte pas de culotte en sa présence, lorsque nous sortons. A la maison, je suis toujours nue.

La soirée est consacrée à une sortie en boite échangiste, tous les trois… ce fut une folle soirée, et je vous la raconterai plus en détail une autre fois… Sachez seulement qu’au retour, j’eus droit à un merveilleux cadeau de la part de mes deux Maîtres : une double pénétration. Mon Maître adoré a pris mon anus… c’est sa chasse gardée, notre petit jardin secret. Nul autre que lui ne me sodomise. Maître Jérôme, quand à lui, me pénètre… je suis empalée sur lui, à vrai dire… quelle joie de sentir deux sexes s’activer en moi en même temps… Je suis pleine… comblée… mon Maître donne de v i o l ents coups de butoirs dans mon cul… le sexe de Maître Jérôme est gonflé dans ma chatte… les deux ne sont séparés que par une fine membrane. C’est l’extase. Je ne peux me retenir. Je jouis en hurlant, soudainement. Maître Jérôme jouit lui aussi à ce moment, tandis que mon Maître continue, imperturbable, à me défoncer le cul par de v i o l ents va-et-vient. Lorsqu’il jouit, il inonde mon orifice secret de sa mixture chaude… et c’est la fin de la journée.

Le dernier jour… découverte de la botanique.

Nous nous levons tard. La soirée de la veille, entre la boite échangiste et la séance qui a suivit au retour, nous a bien épuisé. La journée sera courte, car Maître Jérôme doit embarquer pour Paris à 17h00. Nous avons tout juste quelques heures devant nous… que mes deux Maîtres vont exploiter avec efficacité. Traînée hors du lit, je suis amenée au centre de la pièce, nue. Mise en position d’inspection, je retrouve mon collier de chienne et mes bracelets de cuirs. Maître Jérôme m’écarte les cuisses à coups de cravache, et place de méchantes pinces et des poids conséquents sur mon sexe et ma poitrine. Il entreprend de chauffer mon corps à la cravache, puis à la badine… chaque coup me fait onduler, et les poids tirent sur mes lèvres et mes tétons. Je conserve ma position. Maître prend la cravache… je reconnaîtrais ses coups entre milles… je retiens mes cris de douleur. Pendant ce temps, Maître Jérôme me harcèle. Il joue avec mes tétons meurtris. Il me fesse… ses doigts dégagent mon clitoris… il le pince… je hurle. Maître me fait brutalement mettre à quatre pattes sur la table basse. J’y suis attachée, les yeux bandés. Dans le noir, j’entends des bruits inconnus… je stresse, mais cela m’excite beaucoup… je suis trempée. Soudain, une horrible brûlure déchire mes reins et mes fesses… je hurle de nouveau, me tord de douleur… Mes Maîtres viennent de trouver la botte d’orties que j’avais moi même cueillie dans le jardin en prévision de ce moment. J’avais juste oublié combien c’est douloureux, une fessée aux orties ! Le supplice continue ainsi un moment, jusqu’à ce que je n’en puisse plus. La douleur est trop forte, et le fait de ne pouvoir bouger est intenable. Mon Maître s’en aperçoit très vite et me libère. Maître Jérôme me passe une pommade calmante, en me gratifiant au passage d’une fouille de mon sexe… qui ne tarde pas à redevenir trempé.

Il nous reste deux heures… nous les passons à la piscine, comme un petit groupe d’amis tout ce qu’il y a de plus normal. Sauf qu’ici, il me faut satisfaire alternativement mes deux Maîtres… je suce à genoux dans l’eau, Maître Jérôme m’entraîne à l’abris et me prend sur la table de jardin… Mon Maître nage, et lorsqu’il vient nous rejoindre, c’est pour glisser sa queue dans ma bouche gourmande… Lorsque tous deux ont jouit, je suis autorisée à retourner me baigner à la piscine… mais en gardant mon maillot prêt à libérer mes orifices si l’un d’entre eux souhaite les utiliser. Avant qu’il ne soit l’heure d’amener Maître Jérôme à l’aéroport, je serai de nouveau prise plusieurs fois, à mon plus grand bonheur.

L’au revoir.

C’est la fin de mon week-end de soumission avec Maître Jérôme. Je me tiens nue au milieu du salon, engodée, et mon Maître m’ordonne de saluer Maître Jérôme pour son départ. Je m’agenouille, saisi ses couilles dans une main, les malaxes, et avale son sexe le plus profondément possible. Ma bouche le dévore, tandis que ma main joue avec ses couilles. Puis je quitte le sexe pour aspirer son paquet avec ma bouche et le branler de mes deux mains.

Pendant ce temps, mes deux Maîtres discutent. Lorsque Maître Jérôme jouit une dernière fois sur ma bouche, je le nettoie, et il se rhabille. Je n’irai pas le raccompagner à l’aéroport, car ils doivent discuter de mon dressage.

Je laisse les Maîtres entre eux, et m’apprête à redevenir la femme au foyer et la mère de famille exemplaire que je suis aux yeux de tous…

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